• retrait

     

     

    J'irai longer la lisière du bois, être de silence aux mains désemparées

    d'où s'abîme le soleil chevelu; un étranger au flanc de la colline du soir

    qui lève les yeux en pleurant sur la cité de pierre; une bête sauvage

    immobile dans la paix du vieux sureau.

     

    G.Trakl

     

     

    retrait

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « ...littoral intérieur »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :